Face à la diversité des marchés immobiliers européens et à la difficulté des critères à évaluer comme le rendement locatif, fiscalité, stabilité économique, nombreux sont les investisseurs à hésiter sur les meilleurs choix pour un investissement immobilier en Europe. Cette analyse détaillée explore les pays européens offrant les opportunités les plus prometteuses, de l’Espagne à la Lituanie, en passant par le Portugal et la Pologne. Découvrez les données clés, les avantages fiscaux et les tendances du marché qui déterminent aujourd’hui les destinations incontournables pour maximiser la rentabilité de votre patrimoine immobilier en 2025.
L'Espagne: un marché immobilier à fort potentiel locatif
L'Espagne attire les investisseurs par son marché immobilier dynamique. Les prix restent inférieurs de 25 % au pic de 2008, avec des rendements locatifs entre 5 et 7 %. Cette combinaison d'accessibilité et de rentabilité en fait une destination prisée pour l'investissement immobilier en Europe.
Les grandes villes espagnoles affichent des prix compétitifs. Barcelone propose des loyers à 21,6 €/m²/mois, soit 33 % de plus qu'en 2019. Madrid suit à 19,34 €/m²/mois, +25 % en cinq ans. Ces tarifs restent inférieurs à ceux de Paris (9 857 €/m²) ou Bruxelles (3 322 €/m²), malgré des rendements supérieurs.
Les villes moyennes espagnoles dépassent les 10 % de rendement brut. Talavera de la Reina atteint 10 %, Ségovie 7,1 % et Lérida 8,5 %. Ces marchés moins saturés offrent des opportunités avec un ratio prix/loyer optimal, portés par une demande locative soutenue et une fiscalité avantageuse.
La demande locative en Espagne est soutenue par un déficit de 1,2 million de logements. Les jeunes, souvent incapables d'acheter, restent locataires, tandis que 30 000 expatriés annuels augmentent la pression. Le tourisme et l'économie en croissance (2,1 % en 2023) renforcent cette dynamique, notamment dans l'ancien.
- Madrid (2 271 €/m²) avec un rendement locatif brut moyen de 4,5 %, particulièrement attractif dans le quartier Lavapiés
- Valence (1 850 €/m²) offrant un équilibre entre prix abordables et taux d'occupation élevé (85 % en location saisonnière)
- Malaga (+9,3 % de hausse) à 2 500 €/m², dynamique pour la location touristique avec des loyers en progression de 8,9 %
- Ibiza (jusqu'à 4 191 €/m² à Sant Josep de sa Talaia) malgré des prix élevés, avec des rendements nets de 3,5 %
- Alicante (+7,2 % de hausse) à 2 100 €/m², bénéficiant d'une demande soutenue en location classique et saisonnière
La fiscalité espagnole impacte la rentabilité des investissements. Les résidents européens paient 19 % d'impôt sur les loyers, contre 24 % pour les non-résidents. L'ITP varie de 4 % à 13 % selon les régions. Certaines communautés comme les Baléares offrent des avantages: 4 % d'ITP sous conditions.
La Grèce: un marché immobilier en plein redressement

Le marché immobilier grec rebondit après la crise de 2008. Les prix augmentent de 6,59 % en 2024, avec un indice en hausse de 0,53 % depuis 2007. Les ménages ont perdu 27,9 % de leur patrimoine entre 2008 et 2018, mais la reprise s’affirme. Cette dynamique positionne la Grèce comme une opportunité pour l’investissement immobilier en Europe.
La location meublée touristique à Athènes séduit les investisseurs. Le rendement locatif moyen s’élève à 5-6 %, avec Athènes comparée au "nouveau Lisbonne". Malgré des restrictions récentes, le potentiel reste attractif. Cette tendance profite à ceux qui ciblent stratégiquement le marché des locations saisonnières.
Certains biens à Athènes atteignent 12 % de rendement brut. La zone Amériques affiche 6,9 %, Zografou 5,8 %, et Ékali 5,8 %. Ces chiffres surpassent ceux d’autres capitales européennes. Les investisseurs profitent de cette dynamique pour maximiser leurs revenus locatifs dans un marché en croissance.
Les réformes grecques simplifient les démarches. Le programme Golden Visa ajuste les seuils d’investissement (400 000 € en régions moins cotées). Le déficit réduit à 1,5 % du PIB en 2024 rassure les étrangers. Ces améliorations facilitent l’entrée des investisseurs dans ce marché locatif en expansion.
S’entourer de professionnels est primordial en Grèce. Avocats et agences locales maîtrisent les spécificités juridiques et culturelles. Le tourisme, moteur économique majeur (13 % du PIB), exige une expertise pour éviter les pièges. Ces experts garantissent un investissement sécurisé et rentable.
Les îles grecques offrent des opportunités pour la location saisonnière. La Crète propose des biens à partir de 1 500 €/m², Rhodes allie patrimoine et attractivité, Andros séduit par son authenticité. Ces destinations profitent d’un tourisme dynamique, avec des rendements proches de ceux d’Athènes, autour de 5-6 %. Leur potentiel attire les investisseurs avisés.
Le Portugal: un pays stable et attractif pour l'investissement
Le Portugal maintient une économie résiliente. La dette publique baisse de 112,4% à 104% du PIB entre 2022 et 2023. La croissance se stabilise à 2,5% en 2023. Ces indicateurs attestent de la solidité du pays pour l’investissement immobilier en Europe.
Le climat méditerranéen et les infrastructures modernes attirent les investisseurs. L’Algarve offre 300 jours de soleil annuels et 299 plages Pavillon Bleu. Lisbonne et Porto disposent d’aéroports internationaux. Ces atouts renforcent la demande locative, surtout en bord de mer et en centre-ville.
Lisbonne attire les digital nomads grâce à un visa spécifique. Près de 16 000 expatriés travaillent à distance dans la capitale. Le taux d’occupation locatif grimpe de 9,8% en un an. Cette tendance profite aux propriétaires de logements meublés pour une clientèle internationale mobile.
La tension locative s’accentue dans les métropoles. Lisbonne voit 8% des annonces louées en 24h. Porto suit à 6%. Ce déséquilibre entre offre et demande favorise les investisseurs. Les rendements s’ajustent à la hausse, renforçant la rentabilité des achats immobiliers.
Les banques exigent un apport minimum de 30% pour un achat immobilier. Le taux d’effort est limité à 35% des revenus. Les non-résidents peuvent financer via des établissements locaux ou français. Les conditions varient selon le profil et le type d’investissement, avec des durées allant jusqu’à 40 ans.
Le Golden Visa portugais a évolué en 2023. L’acquisition immobilière reste éligible pour les biens à rénover (350 000 €) ou neufs (500 000 €). Le programme donne accès à l’espace Schengen et la citoyenneté après 5 ans. Cette opportunité attire les investisseurs étrangers.
L'Italie: un marché immobilier qui retrouve sa vigueur
Le marché italien rebondit après une décennie de déclin. Les investissements étrangers ont bondi de 25% en 2023, avec un prix moyen entre 2 850 € et 3 100 €/m². Une hausse de 1 à 3% est attendue en 2024, portée par la demande urbaine et des politiques fiscales attractives, malgré les disparités régionales.
Les prix italiens restent inférieurs de 20 à 30% à leur pic d'avant-crise. Les régions du sud affichent des décotes notables, tandis que Milan et Venise restent parmi les plus chères. Cette décote offre des opportunités de plus-value, notamment dans les zones sous-évaluées comme le sud.
Rome attire 12 millions de touristes annuels, boostant la location saisonnière. Les quartiers Trastevere et Centro Storico offrent des rendements élevés malgré des prix élevés. San Giovanni et Pigneto se distinguent par leur accessibilité et leur croissance, avec des taux d'occupation Airbnb proches de 85%.
Les banques italiennes financent maximum 50% du prix d'achat. Les non-résidents peuvent opter pour un crédit hypothécaire en France ou solliciter des aides régionales comme en Pouilles. Ces alternatives permettent de contourner les restrictions tout en sécurisant le financement pour des rendements optimisés.
Florence, Bologne et Naples affichent des dynamiques distinctes. Florence devrait atteindre 4 184 €/m² en 2024, Bologne 3 419 €/m² avec +3,9% de hausse, tandis que Naples reste accessible à 2 696 €/m² (-1,5%). Ces villes secondaires allient potentiel de revente et demande locative soutenue.
La fiscalité italienne applique un barème progressif d’IRPEF (23-43%) sur les revenus locatifs. Cependant, l’ITP varie de 2 à 9% selon les régions. Les primo-accédants bénéficient d’exonérations IMU. Selon Euronews, le taux moyen reste à 21% malgré ces avantages, impactant le rendement net mais compensé par des loyers croissants.
La Lituanie: un rendement locatif prometteur en Europe de l'Est
Le marché immobilier lituanien attire les investisseurs avec un rendement locatif brut moyen de 5,65 % à Vilnius. Les loyers progressent de 10,4 % en 2024, dépassant la moyenne européenne. Cette dynamique positionne la Lituanie comme une opportunité rentable dans l'Europe de l'Est, combinant croissance et avantage fiscal.
Les loyers ont bondi de 170 % depuis 2015. Le prix médian d’un mètre carré s’établit à 4 478,83 € à Vilnius. Cette hausse s’explique par la demande croissante, notamment auprès des cadres et des expatriés. Les taux d’intérêt plus bas stimulent l’activité malgré l’inflation.
Les étrangers peuvent acheter des biens résidentiels sans restriction. L’acquisition de terres agricoles reste encadrée. Pour sécuriser l’investissement, un notaire lituanien valide les documents. Un compte bancaire local facilite les transactions courantes. Ce cadre transparent rassure les investisseurs internationaux sur un marché en expansion.
Les prix ont grimpé de plus de 10 % au deuxième trimestre 2024. Vilnius concentre 60 % des transactions. Les quartiers en développement, comme Naujamiestis, attirent les promoteurs. Cette envolée s’explique par une offre limitée et une demande soutenue, portée par la stabilité économique du pays.
Les zones en gentrification, comme Užupis, offrent des perspectives solides. Ce quartier artistique voit ses prix grimper de 12 %. Le projet Launagiai prévoit 80 000 logements d’ici 2030. Ces opérations mixtes, combinant résidentiel et commercial, maximisent les revenus locatifs dans un contexte de pénurie de neuf.
Investir via des SCPI en Lituanie s’inscrit dans une stratégie de diversification. Le PIB croît de 3,8 % en 2024. Les crédits immobiliers bondissent de 92 % en février 2025. Cette croissance s’accompagne d’une reprise des permis de construire, dynamisant la construction et l’offre locative.
L'Estonie: un marché immobilier aux loyers élevés
Les lois estoniennes facilitent l’investissement étranger. Les étrangers achètent des biens urbains sans restrictions majeures. Les terres agricoles restent encadrées. La e-Residency simplifie la création d’entreprises. Ce cadre attractif attire les investisseurs en quête de rendements locatifs stables.
Le taux d’imposition sur les revenus locatifs s’élève à 20%. Un abattement annuel de 6 000 € s’applique. Les plus-values bénéficient d’un régime spécial pour les non-résidents. La TVA s’applique à 20% pour la plupart des transactions. Ce système simple incite l’investissement immobilier étranger.
Les loyers annuels brut atteignent 4,89% à Tallinn. Riga suit à 4,06%, Vilnius à 5,39%. Ce rendement s’explique par une demande soutenue et une offre limitée. La pénurie de logements neufs alimente cette dynamique, renforçant la rentabilité des acquisitions.
Les prix ont bondi de 6,7% en six mois. Cette tendance s’aligne sur la croissance régionale. La Bulgarie (+18,3%) et la Hongrie (+13%) montrent des dynamiques similaires. Les marchés d’Europe centrale et orientale concentrent la croissance, attirant les capitaux étrangers.
Tallinn concentre les opportunités immobilières. Le Vieux Tallinn, Rotermanni et Kalamaja attirent les investisseurs. Les prix varient de 3 000 à 7 000 €/m² selon les quartiers. Les zones en développement offrent des rendements supérieurs, portés par la gentrification et les projets urbains.
- Tallinn (rendements de 4,89 %), quartiers historiques et en développement
- Tartu propose des opportunités dans une ville universitaire dynamique
- Narva (900 à 1 500 €/m²) offre des prix accessibles près de la frontière russe
- Pärnu (2 500 à 3 800 €/m²) profite d’un tourisme balnéaire actif
- Kuressaare (2 800 à 4 100 €/m²) sur l’île de Saaremaa, attractif pour la location saisonnière
Les SCPI offrent une alternative solide pour investir en Estonie. Le PIB grimpe de 3,8% en 2024. Les crédits immobiliers bondissent de 92% en février 2025. Cette croissance soutient la demande locative et la valorisation des actifs immobiliers.
La Roumanie: un investissement à coût d'achat modéré

La Roumanie séduit par ses prix d’acquisition accessibles. Le prix moyen s’élève à 2 184 €/m², contre 3 800 €/m² en Pologne. Cette décote attire les investisseurs cherchant un rendement locatif moyen de 6,46 %, porté par une demande soutenue dans les grandes villes et un taux d’imposition réduit à 10 % sur les loyers.
Le taux d’imposition sur les revenus locatifs s’élève à 10 %. Ce prélèvement s’applique aux résidents comme aux non-résidents. Aucune déduction de charges n’est autorisée. Ce régime s’inscrit dans un cadre fiscal simplifié, avec un taux unique pour les salaires, les pensions et les activités autonomes.
Les rendements locatifs bruts atteignent 6,46 % par an. Les studios et T1 dominent ce marché, avec 8,2 % à Bucarest et 7,5 % à Cluj-Napoca. Ces biens résistent à l’inflation grâce à une demande locale forte et des loyers réglementés, préservant la rentabilité des investisseurs.
Bucarest concentre 60 % des transactions immobilières. Les quartiers Lipscani et Floreasca attirent les expatriés avec des prix variant de 1 500 à 4 500 €/m². Le rendement brut oscille entre 6 % et 8 %, porté par une population jeune et un tissu économique diversifié.
Cluj-Napoca, Brasov et Timisoara offrent des alternatives. Cluj-Napoca affiche des prix 30 % inférieurs à Bucarest, avec un taux de croissance de 8 % par an. Brasov profite de sa proximité des monts Carpathes. Timisoara, ville numérique, attire les télétravailleurs avec des loyers en hausse de 5,7 %.
Avec un budget de 100 000 €, l’acquisition d’un T2 à Timisoara reste possible. Les étrangers peuvent acheter directement des biens urbains. Les non-résidents doivent solliciter un NIF. Une vérification notariale préalable sécurise l’investissement dans ce pays où 95 % des habitants sont propriétaires.
L'Irlande: des rendements élevés malgré une forte taxation
Le marché immobilier irlandais se distingue par ses loyers élevés. Le loyer moyen à Dublin atteint 2 102 €, un doublement en dix ans. Cette dynamique attire les investisseurs malgré une fiscalité lourde, offrant des rendements bruts attractifs dans un contexte de pénurie de logements.
La crise du logement accentue la rentabilité locative. Deux tiers des jeunes actifs habitent chez leurs parents. Les loyers ont doublé à Dublin. Cette tension offre des opportunités et les rendements.
Les rendements bruts varient entre 6,51 % et 8,49 %. Dublin propose 6,51 % en centre-ville, Cork 7,16 %, Galway 8,49 %. Ces taux attirent malgré un cadre réglementaire complexe, positionnant l’Irlande comme marché à fort potentiel pour les investisseurs avertis.
La fiscalité irlandaise pèse sur la rentabilité nette. Un barème progressif s’applique: 20 % jusqu’à 33 800 €, 40 % au-delà. Des stratégies d’optimisation existent, comme la déduction des intérêts d’emprunt à 100 % des loyers.
Le logement étudiant représente un segment porteur. L’Irlande accueille davantage d’étudiants internationaux, avec 2,38 milliards € de retombées économiques en 2022. Dublin, Cork et Galway attirent cette clientèle, renforçant la demande locative saisonnière et annuelle.
Les perspectives immobilières irlandaises restent positives. La construction résidentielle a bondi de 68 % en 2024. Ce regain d’offre pourrait stabiliser le marché à long terme, mais la demande soutenue maintiendra la dynamique des rendements malgré les défis réglementaires.
La Hongrie: des loyers en forte hausse depuis 2015
Les loyers hongrois ont bondi de 180% depuis 2015. À Budapest, l'augmentation atteint 8,6% en un an. Une conjoncture économique favorable, un déficit de 200 000 logements et une demande soutenue par les étudiants expliquent cette évolution. Le marché locatif reste attractif malgré une inflation maîtrisée.
Le régime fiscal hongrois prévoit un taux de 15% sur les revenus locatifs. Une déduction de 10% des loyers s'applique automatiquement pour les frais. Les plus-values sont exonérées après 5 ans de détention. Ce cadre incite les investisseurs à long terme à s'installer.
Les prix immobiliers ont progressé de 9,8% en 12 mois avant juin 2024. Cette dynamique s’inscrit dans une tendance européenne. La Bulgarie (+18,3%) et la Hongrie (+13%) figurent parmi les marchés les plus actifs. Les perspectives restent positives, portées par la reprise économique régionale.
Budapest concentre 60% des transactions. Le XIe arrondissement attire 32% des demandes, suivi du 13e et 14e. Les prix varient de 2 000 à 4 000 €/m² selon les quartiers. Les logements modernes avec balcon ou climatisation restent les plus recherchés.
Debrecen, Szeged et Pécs offrent des alternatives à Budapest. Debrecen propose des prix 30% inférieurs à la capitale, avec un marché dynamique. Szeged profite de son attractivité universitaire. Pécs attire les étudiants internationaux, renforçant la demande locative.
Les étrangers peuvent acheter des biens résidentiels sans restriction. Un notaire validera les documents. Les non-résidents doivent obtenir un NIF hongrois. Une gestion à distance est possible via un agent immobilier local. Ce professionnel gère les locataires et les réparations, sécurisant l'investissement.
La Pologne: un marché immobilier en forte croissance
La Pologne se positionne comme un marché immobilier dynamique en Europe. Le PIB croît de 4-5% annuellement. Les prix restent abordables comparés à l'Europe de l'Ouest. Varsovie propose des logements à 5 000 €/m² en moyenne. Cette opportunité attire les investisseurs étrangers en quête de rendement élevé.
Les prix ont bondi de 17,7% en 12 mois. Cette flambée s'explique par la rareté de l'offre et une demande soutenue. Les taux d'intérêt en baisse devraient prolonger cette dynamique. Cette volatilité offre des perspectives de plus-value attractives pour les investisseurs en quête d'opportunités.
Les rendements locatifs varient de 2 à 5% brut. À Varsovie, un studio rapporte 400 €/mois. Cracovie offre des taux similaires. Cette stabilité renforce la rentabilité. Les investisseurs profitent d'une demande locative soutenue par l'activité économique en Pologne.
La Pologne applique un taux forfaitaire de 8,5-12,5%. Aucune cotisation sociale n'est due sur les revenus locatifs. Cette simplicité fiscale optimise le rendement net. Les non-résidents paient le même taux. Ce régime attractif stimule l'investissement étranger dans le secteur immobilier.
Varsovie concentre 60% des transactions. Cracovie profite de son attractivité touristique. Wroclaw et Gdansk offrent des opportunités abordables. Ces villes génèrent 400 000 emplois dans l'immobilier. Leur diversité économique renforce la demande locative.
Les résidents UE achètent librement sans autorisation. Les autres doivent obtenir un permis spécifique. Les frais de notaire atteignent 2% du prix. Le processus prend 2-3 mois pour les non-UE. Cette clarté rassure les investisseurs dans un marché en expansion.