Où investir dans l'immobilier pour maximiser sa rentabilité locative en 2025 ? Découvrez les villes françaises où les rendements locatifs défient la moyenne nationale, grâce à des prix au mètre carré accessibles et une demande locative soutenue. De Mulhouse à Nîmes, en passant par Saint-Étienne et Limoges, cette analyse dévoile les opportunités stratégiques pour les investisseurs souhaitant optimiser leurs revenus locatifs tout en maîtrisant les risques liés au marché immobilier.
Mulhouse : champion de la rentabilité locative
Mulhouse se positionne comme une ville incontournable pour l'investissement immobilier. Les rendements bruts oscillent entre 8 % et 11 %, dépassant souvent les 10 %. Cette attractivité s'appuie sur des prix d'achat bas, parfois inférieurs à 1 000 €/m². Ses loyers mensuels se situent entre 11 et 13 €/m². La ville profite d'une dynamique économique et d'une localisation stratégique proche de Bâle et Fribourg.
Les prix immobiliers à Mulhouse renforcent sa rentabilité locative. Le prix moyen au mètre carré d'un appartement s'élève à 1 247 €, contre 1 860 € pour une maison. Un investissement de 30 000 € génère 300 € mensuels de loyer, soit une rentabilité brute de 10 %. Le neuf s'acquiert à 3 590 €/m², un prix abordable comparé à la moyenne nationale.
Le marché locatif mulhousien offre des loyers moyens de 527 € pour un appartement. Le loyer médian s'établit à 9,20 €/m². Dans le quartier Riedisheim, le loyer atteint 10 €/m². Un studio de 20 m² dans le centre historique se loue environ 350 €. Ces chiffres, associés à des prix d'achat modérés, créent un rendement exceptionnel.
Indicateurs immobiliers clés pour Mulhouse (avril 2025) Indicateur Valeur Évolution/Contexte Prix moyen au m² (appartements) 2 370 € Stable en avril 2025, +21,7% sur 5 ans Prix moyen au m² (maisons) 2 444 € Légère baisse en avril 2025 malgré la tendance haussière sur 5 ans Rendement locatif brut moyen 6 % 4 % à 7 % selon localisation/type, studios jusqu'à 8,93 % Évolution des loyers Loyer médian Progression de +7 % en 2024, +21,7 % sur 5 ans Délai de vente moyen 105 jours (janvier 2025) +3 jours vs janvier 2024, mais dynamisme avec 63 jours en pointe Population active 0,0 % Part des agriculteurs exploitants dans la population
Certains quartiers de Mulhouse présentent des rentabilités exceptionnelles. Le Rebberg, secteur haut de gamme, affiche des prix allant jusqu'à 3 283 €/m² pour un 5 pièces. Le centre-ville séduit les jeunes actifs avec des petites surfaces. Le quartier Salengro, proche du centre, propose de grands appartements. Les rendements dans ces zones oscillent entre 7 % et 10 %.
Le taux de vacance locative à Mulhouse peut dépasser 15 %, un défi pour les investisseurs. Certains biens en périphérie chic restent inoccupés. L'image liée à son passé industriel maintient les prix immobiliers bas. La taxe d'habitation varie fortement selon les quartiers, ce qui impacte le rendement net de l'investissement locatif.
Les prix des appartements à Mulhouse ont légèrement reculé de 0,5 % en un an, s'établissant à 1 316 €/m² en janvier 2025. Les maisons, en revanche, connaissent une hausse modérée. Les loyers progressent de 7 % en 2024. Ces tendances suggèrent un marché immobilier dynamique, bien que les écarts entre quartiers persistent.
Saint-Étienne : des opportunités à saisir

Saint-Étienne attire les investisseurs avec ses prix abordables et sa rentabilité. Le prix moyen au mètre carré s'élève à 1 100 €, permettant un rendement locatif moyen de 7,71 %. Cette attractivité s'explique par une demande locative soutenue.
La demande locative à Saint-Étienne est portée par les étudiants et les jeunes actifs. Les petites surfaces (T1, T2) représentent 40 % des locations. L'économie dynamique renforce cette attractivité.
Le rendement locatif stéphanois atteint 7 % à 8 %, dépassant la moyenne nationale de 5 %. Certains appartements meublés génèrent jusqu'à 10,59 %. Cette performance repose sur des prix d'achat bas et une demande soutenue.
Le centre-ville et ses abords immédiats (Châteaucreux, Carnot, Villeboeuf-Fauriel-Vivaraize) offrent les meilleurs rendements. Ces quartiers profitent d'une forte demande étudiante et professionnelle. Les prix médians varient entre 1 100 € et 1 210 €/m² selon la localisation.
Les projets urbains stéphanois (Novaciéries, Terrenoire) visent à redynamiser la ville. Ces initiatives, couplées à la monnaie locale, renforcent l'attractivité du territoire. Ces transformations pourraient booster le marché immobilier local.
Les atouts de Saint-Étienne pour l'investissement immobilier résident dans ses prix accessibles, sa demande locative soutenue et ses projets urbains.
- Prix au m² abordables pour investir avec un budget modeste
- Demande locative forte via la population étudiante (30 000 personnes)
- Rendement locatif moyen de 7,71 % avec potentiel de plus-value
- Proximité de Lyon et dispositifs fiscaux avantageux (Monuments Historiques)
Ces opportunités en font une destination stratégique pour diversifier son patrimoine immobilier.
Limoges : performance du marché locatif
Limoges se classe parmi les villes les plus rentables pour l'immobilier locatif. Le rendement brut moyen atteint 8 %, dépassant régulièrement les 8,46 % pour les studios. Cette performance s'appuie sur des prix d'acquisition modérés et une demande locative soutenue.
Les prix immobiliers à Limoges sont compétitifs pour l'investissement. En mai 2025, un appartement coûte 1 755 €/m². Les maisons s'échangent à 1 845 €/m². Ces valeurs, inférieures à la moyenne nationale, stimulent la rentabilité locative.
Le marché locatif à Limoges reste soutenu par une demande diversifiée. Le loyer moyen d'un appartement s'établit à 10,90 €/m². Les studios, très demandés, génèrent des rendements élevés grâce à leur faible prix d'achat.
La rentabilité locative à Limoges atteint 8,46 % pour les studios. Ce taux, parmi les plus élevés de France, s'explique par un ratio prix/loyer attractif. Les investisseurs profitent d'opportunités rares sur le marché français.
Limoges profite d'une économie diversifiée et d'une population dynamique. Le taux de chômage s'établit à 16,5 %. Les 18 000 étudiants soutiennent le marché locatif.
Les prix des appartements à Limoges baissent de 5,2 % sur un an. Cette tendance, associée à des loyers stables, renforce la rentabilité. Le pouvoir d'achat immobilier augmente, attirant davantage d'acheteurs.
Caen et Besançon : où l'investisseur doit prospecter
Caen attire les investisseurs avec son dynamisme économique et sa forte population étudiante. Les studios et T1 offrent des rendements pouvant atteindre 7,10 %. La ville profite d'un marché locatif varié et d'un emplacement stratégique en Normandie.
Le marché immobilier caennais affiche des prix moyens de 3 063 €/m². Les appartements se négocient à 2 420 €/m². Les loyers médians s'élèvent à 12 €/m², générant un rendement moyen de 5 % à 7,10 % selon la surface et l'emplacement.
Les quartiers du Port, Théâtre et Jardin des Plantes présentent les meilleures opportunités. Les studios près des universités offrent des rentabilités jusqu'à 9 %. Les petites surfaces en hyper-centre attirent les étudiants et jeunes actifs, assurant un taux d'occupation élevé.
Besançon se positionne comme une ville rentable pour l'investissement immobilier. La demande locative soutenue par de nombreux étudiants et fonctionnaires stimule le marché. Les rendements bruts atteignent 7,97 %, particulièrement attractifs pour les petites surfaces.
Les prix immobiliers à Besançon s'établissent à 2 460 €/m² en janvier 2025. Les loyers moyens s'élèvent à 483 € charges comprises. Les appartements de 40 à 45 m² se louent environ 550 €/mois, garantissant un rendement locatif moyen de 7,13 %.
Les studios et T1 meublés représentent les segments les plus rentables à Besançon. Ces surfaces attirent les étudiants et jeunes actifs, avec des rendements bruts jusqu'à 7,97 %. La proximité des universités et des services publics renforce la demande locative dans ces catégories de biens.
Amiens et Orléans : marchés locatifs performants
Amiens séduit les investisseurs avec ses prix abordables et sa proximité de Paris. Les appartements se négocient en moyenne à 2 510 €/m². Un studio génère un rendement brut de 7,29 %. La demande locative est soutenue par plus de 26 000 étudiants, ce qui classe Amiens parmi les villes universitaires majeures.
Le rendement locatif à Amiens atteint 7,29 % pour les studios. Les prix oscillent entre 2 000 et 2 800 €/m² selon les quartiers. Le taux de locataires s'élève à 67 % de la population. Ces facteurs, combinés à la dynamique étudiante, expliquent la rentabilité supérieure à la moyenne nationale.
Les investisseurs à Amiens proviennent principalement de Paris et de l'Oise. Les locataires typiques incluent 30 % de 15 à 29 ans. Le quartier Saint-Pierre attire couples et familles. Les étudiants et jeunes actifs dominent le marché locatif, représentant 84 % de certains quartiers.
Orléans affiche des prix immobiliers en baisse de 5,6 % sur un an. Le prix moyen des appartements s'établit à 2 522 €/m². Cette ville attire les investisseurs par sa proximité avec Paris et ses rendements élevés pour les petites surfaces, confirmant sa performance sur le marché locatif.
Le rendement locatif à Orléans atteint 8,18 % pour les studios. Les appartements de 50 m² offrent un taux de 5,5 %. Environ 60 % de la population est locataire. Les loyers augmentent de 4 % par an, renforçant l'attractivité du marché immobilier local.
Amiens propose des rendements plus élevés, jusqu'à 7,29 % pour les studios. Orléans attire davantage d'acheteurs parisiens malgré des prix légèrement supérieurs. Les deux villes partagent une forte demande étudiante, mais Amiens offre un meilleur équilibre rentabilité-risque avec des prix plus accessibles et un taux de locataires plus élevé.
Grandes villes à suivre : Rouen, Rennes et Lille
Le marché immobilier rouennais séduit par ses opportunités. Euronews révèle une baisse des prix de l'immobilier en France en 2024. Les prix ont chuté de 5 % en 2024 pour les maisons. Un bien de 89 m² avec 230 m² de terrain coûte 220 000 €. Le prix moyen atteint 2 550 €/m², avec un prix médian à 2 709 €/m² pour les maisons.
Les prix immobiliers à Rouen varient selon les quartiers. Grammont atteint 3 523 €/m² contre 1 692 €/m² à Grand Mare. Les appartements meublés offrent des rendements de 4,87 % à 7,35 %, avec une moyenne de 5,91 %. Les studios génèrent des rentabilités supérieures.
Rennes attire les investisseurs par son développement urbain. Le prix moyen des appartements s'élève à 3 973 €/m². Un studio peut générer 5,99 % de rendement. La ville offre une qualité de vie attractive pour les étudiants, familles et jeunes actifs. Le Couvent des Jacobins soutient le tourisme d'affaires.
Le marché rennais affiche des rendements de 4 % à 7,5 %. Les prix oscillent entre 2 460 €/m² et 5 190 €/m². Le prix médian atteint 4 713 €/m². Le marché reste tendu dans le centre, où les biens disponibles se raréfient.
Lille séduit avec des rendements de 4 à 9 %. Un studio peut atteindre 5,88 % de rentabilité. La ville accueille plus de 125 000 étudiants. Les quartiers comme Wazemmes offrent des prix attractifs. Les maisons valent environ 2 926 €/m², les appartements 4 053 €/m².
Rouen, Rennes et Lille présentent des profils distincts. Rouen propose des rendements de 4,87 % à 7,35 % avec un prix moyen à 2 550 €/m². Rennes affiche 4 % à 7,5 % de rentabilité à 3 760 €/m². Lille offre 4 à 9 % de rendement à 4 053 €/m², avec une proximité de Paris en 1 heure.
Grigny : un rendement moyen exceptionnel

Grigny : rendement locatif moyen de 8,21 %. Certains biens atteignent même 14,41 % de rentabilité brute. Ces chiffres placent Grigny parmi les villes les plus attractives pour l'investissement immobilier, malgré des défis spécifiques liés à sa situation géographique et sociale.
Le prix moyen au m² à Grigny (91) s'établit à 1 513 € selon Manda. Les appartements s'échelonnent entre 71 955 € et 213 813 €. Ces valeurs, inférieures à celles de Grigny (69), expliquent l'attractivité du marché immobilier local pour les investisseurs en quête de rendement.
Grigny (91) affiche un taux de vacance locative de 8 %, légèrement inférieur à la moyenne nationale de 8,2 %. Ce paramètre influence directement la rentabilité nette des investissements. Les mois de vacance réduisent les revenus, nécessitant une gestion proactive pour maintenir un taux d'occupation élevé.
Grigny (91) convient aux investisseurs prêts à gérer des biens dans des copropriétés endettées. Un suivi rigoureux des charges et des travaux est indispensable. Le marché s'adresse à ceux capables d'évaluer les risques et d'anticiper les défis liés à la gestion locative dans ce secteur.
Investir dans l'immobilier sans acheter directement à Grigny présente des avantages. Les SCPI ou OPCI offrent une alternative pour bénéficier de la rentabilité de cette zone tout en évitant les défis de gestion locative. Cette approche réduit les risques liés à la vacance et aux copropriétés fragiles.
Les projets de rénovation urbaine à Grigny, comme le réaménagement de la Grande Borne, pourraient transformer le marché immobilier local. Un budget de 4,9 millions d'euros est dédié à l'amélioration des conditions de vie. Ces initiatives pourraient stabiliser le parc locatif et attirer une population plus diversifiée, modifiant progressivement le profil de la ville.
Niort : meilleur rendement pour les appartements
Niort se démarque par son rendement locatif exceptionnel pour les appartements. Le taux brut moyen s'élève à 7,05 %, pouvant atteindre 9,01 % pour un bien acquis 93 250 € avec un loyer de 700 € mensuels. Cette rentabilité s'appuie sur des prix abordables et une demande locative soutenue.
Le marché immobilier niortais reste attractif pour les investisseurs immobiliers. Le prix moyen des appartements s'établit à 2 149 €/m², contre 1 931 €/m² pour les maisons. Les prix baissent de 5 % en 2024, renforçant la rentabilité. Le loyer médian s'élève à 480 € pour un T2, générant un rendement de 7 % à 8,80 %.
Les T2 et petites surfaces dominent les rentabilités à Niort. Un studio génère 500 € de revenus locatifs avec un bail non meublé. Les appartements représentent 41,8 % des transactions. La location meublée non professionnelle (LMNP) accroît les rendements. Ce marché s'adresse aux investisseurs en quête de rendement.
L'économie niortaise repose sur le pôle assurance et le tertiaire. Les mutuelles génèrent 10 813 entreprises. Cette dynamique favorise une demande locative diversifiée. La gestion des risques est une spécialité locale. La vacance locative reste modérée à 8 %, inférieure à la moyenne nationale.
Les locataires à Niort incluent familles, jeunes de moins de 30 ans et étudiants. La population locataire représente 50,4 % des résidents. Les résidences étudiantes attirent une clientèle spécifique. Des logements PMR répondent aux besoins des seniors. Plus de 4 000 demandes de logements sociaux restent en attente dans la région.
Nanterre : potentiel élevé en Île-de-France
Nanterre se positionne comme une ville stratégique en Île-de-France. Son prix moyen au mètre carré s'élève à 5 739 €, bien inférieur aux tarifs parisiens. La proximité du quartier d'affaires de La Défense et l'accès facilité à Paris via le RER A renforcent son attractivité. Cette ville offre un rendement potentiel de 5,53 % pour un appartement 3 pièces.
Le rendement locatif à Nanterre varie de 3,9 % en Pinel à 4,8 % en location classique. Ces chiffres excèdent la moyenne régionale de 4,8 %. Les petites surfaces, très demandées par les étudiants et jeunes actifs, génèrent des taux atteignant 5,1 %. Ces performances placent Nanterre parmi les villes franciliennes les plus rentables.
Les prix immobiliers à Nanterre s'établissent à 4 013,95 €/m² pour les appartements et 4 517,32 €/m² pour les maisons. Un 4-pièces aux Terrasses de l'Arche voit sa valeur passer de 700 000 à 545 000 €. Ces évolutions traduisent un marché en ajustement, offrant des opportunités pour les acheteurs.
Les projets d'aménagement transforment le paysage immobilier nanterrien. Des opportunités pour Investir dans le neuf sont à saisir. Le projet des Groues, sur 65 hectares, prévoit 5 000 logements neufs et 20 % de logements sociaux. Nanterre Cœur Université, piloté par Bouygues, et Nanterre Partagée, par Icade, visent à moderniser l'offre résidentielle et professionnelle.
Les investisseurs à Nanterre proviennent majoritairement de Paris et des Hauts-de-Seine. Les locataires incluent des étudiants (30 000 à l'université), des couples et familles. La ville compte 50,4 % de locataires, avec une demande forte pour les T2 de 40 à 45 m². Les logements sociaux représentent 52,6 % du parc locatif.
Sud : Nîmes, Marseille et Montpellier
Nîmes se distingue par des prix immobiliers accessibles. Le m² s’échange en moyenne à 2 122 € pour les appartements, 2 800 € pour les maisons. Les rendements oscillent entre 4 % et 7 %, avec des pointes à 8,93 %. La proximité de Montpellier et le climat attractif renforcent son potentiel.
Le rendement brut à Nîmes varie de 4 % à 7 % selon les quartiers. Le centre historique et Gambetta offrent les meilleurs taux. Les appartements meublés génèrent une moyenne de 5,6 %. Les prix en baisse (2 122 €/m²) et une demande soutenue expliquent cet attrait pour les investisseurs.
Marseille affiche un marché contrasté. Le prix moyen atteint 3 774 €/m² avec un loyer médian de 15 €/m² pour un T2. Le rendement brut tourne autour de 6 %, mais certains quartiers comme la Belle de Mai dépassent 8,64 %. La location saisonnière reste une niche lucrative.
Les quartiers marseillais présentent des écarts marqués. Le 1er arrondissement concentre une forte demande locative. La Joliette et la Belle de Mai offrent des opportunités. Le 8e arrondissement a vu ses prix grimper de 32,9 % depuis 2019, limitant la rentabilité dans certains cas.
Montpellier maintient un équilibre entre attractivité et rendement. Les appartements se négocient à 3 367 €/m². Le loyer médian s’élève à 14 €/m². Les studios atteignent 6,10 % de rentabilité brute, bien qu’un écart subsiste avec la location meublée (jusqu’à 7-9 %).